Voici une courte histoire qui explique l'engagement de l'artisan Marcel Cassan à la restauration d'une des 3 cloches de l'église de Bécancour. Les textes en italiques sont des citations incluant les références. (exposé par Linda Allard)
L'incendie de l'église de La-Nativité-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie aurait pris naissance peu avant 3 h 30 au sous-sol de la sacristie de l'église le 22 décembre 2000.
Les pompiers n'ont pu arrêter le feu dans le bâtiment car il était trop rapide et intense. Le clocher de l'église, d'une hauteur de 180 pieds s'effondre.
(photo et texe: Le Nouvelliste, 23 décembre 2000, 81 e année, No 48)
Photo prise à l'arrière de l'ancien presbytère, à côté de l'église Bécancour.
L'église en tant que telle est une perte totale: seules les pierres de l'édifice sont restées debout.
C'est tout un pan du patrimoine de Bécancour qui s'envole en fumée puisque que l'église était plus que centenaire. Sa fondation remontait à 1886.
(Photo et texte: canoe.ca/infos )
Photo prise à l'avant de l'église Bécancour, sur la rue Nicolas-Perrot.
Construite en pierre des champs et en bois et inaugurée en 1892 ; en plus de l'un des premiers orgues Casavant (1893),
l'église possédait des tableaux d'Antoine Plamondon, dont l'oeuvre maîtresse du choeur et le chemin de croix.
2001 (26 avril) Mgr Raymond-Marie Saint-Gelais, évêque de Nicolet, autorise la destruction des murs de l'église
de la Nativité-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie restés debout après l'incendie du 22 décembre précédent.
(Photo et texte: Bécancour - municipalité de ville )
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